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Pensionnats du Canada: Rapport final de la Commission de vérité et réconciliation du Canada, Volume 3

Par Commission de vérité et réconciliation du Canada. 2015

Braille (abrégé), Braille électronique (abrégé), DAISY Audio (Téléchargement Direct), DAISY Audio (Zip), DAISY texte (Téléchargement direct), DAISY texte (Zip), Word (Zip), ePub (Zip)
Essais et documents généraux
Audio avec voix de synthèse, Braille automatisé

Entre 1867 et 2000, le gouvernement canadien a placé plus de 150 000 enfants autochtones dans des pensionnats d’un bout…

à l’autre du pays. Les autorités gouvernementales et les missionnaires étaient d’avis qu’afin de « civiliser et de christianiser » les enfants autochtones, il fallait les éloigner de leurs parents et de leur communauté d’origine respective. La vie de ces enfants au pensionnat était empreinte de solitude et d’exclusion. La discipline y était stricte et le déroulement du quotidien, lui, fortement régenté. Les langues et les cultures autochtones étaient dénigrées et réprimées. L’éducation et la formation technique prenaient trop souvent la forme de corvées et de tâches ménagères assurant l’autonomie des pensionnats. La négligence à l’égard des enfants fut institutionnalisée et le manque de supervision donna lieu à des situations où les élèves furent victimes de sévices physiques et sexuels. Une poursuite judiciaire déposée par les anciens pensionnaires a mené, en 2008, à la mise sur pied de la Commission de vérité et réconciliation du Canada. Étant l’aboutissement de plus de six ans de recherche, le rapport final de la Commission présente l’histoire des pensionnats ainsi que leur héritage, et trace la voie de la réconciliation. Pensionnats du Canada : L’expérience métisse rend compte de la longueur et de la complexité de l’expérience des Métis dans les pensionnats du Canada. Celle-ci ne met pas seulement en cause le gouvernement fédéral et les autorités religieuses, mais aussi les administrations provinciales et territoriales. Les Églises souhaitant convertir autant d’enfants autochtones que possible, elles ne s’opposèrent pas à l’admission d’enfants métis. À Saint-Paul-des-Métis, en Alberta, les missionnaires catholiques romains fondèrent au début du XXe siècle un pensionnat sur mesure pour ces enfants, tandis que les anglicans établissaient des foyers pour ceux du Yukon dans les années 1920 et 1950. La politique du gouvernement fédéral sur l’éducation des enfants métis était constamment redéfinie. À certains moments, le gouvernement considérait que les Métis faisaient partie de « classes dangereuses » que les pensionnats allaient civiliser et assimiler. Cette vision a mené à divers moments à l’adoption de politiques permettant l’admission de ces enfants. Toutefois, sur le plan de la juridiction, le gouvernement fédéral croyait que la responsabilité d’éduquer et d’assimiler les Métis revenait aux gouvernements provinciaux et territoriaux. Lorsque cette vision avait cours, les agents des Indiens avaient souvent l’ordre de retirer les enfants métis des pensionnats. Comme les gouvernements provinciaux et territoriaux hésitaient à fournir des services à cette communauté, de nombreux parents métis souhaitant faire instruire leurs enfants dans une école n’avaient d’autre option que de tenter de les faire admettre dans un pensionnat. Lorsque les gouvernements provinciaux ont commencé à fournir davantage de services d’éducation aux élèves métis après la Deuxième Guerre mondiale, bon nombre de ces enfants vivaient dans des foyers ou des pensionnats dirigés ou financés par ces mêmes gouvernements. Il reste beaucoup à faire pour déterminer l’impact que ces établissements ont eu sur les enfants métis, leur famille et leurs communautés, et pour corriger la situation.

Pensionnats du Canada: Rapport final de la Commission de vérité et réconciliation du Canada, Volume I

Par Commission de vérité et réconciliation du Canada. 2015

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Essais et documents généraux
Audio avec voix de synthèse, Braille automatisé

Entre 1867 et 2000, le gouvernement canadien a placé plus de 150 000 enfants autochtones dans des pensionnats d’un bout…

à l’autre du pays. Les autorités gouvernementales et les missionnaires étaient d’avis qu’afin de « civiliser et de christianiser » les enfants autochtones, il fallait les éloigner de leurs parents et de leur communauté d’origine respective. La vie de ces enfants au pensionnat était empreinte de solitude et d’exclusion. La discipline y était stricte et le déroulement du quotidien, lui, fortement régenté. Les langues et les cultures autochtones étaient dénigrées et réprimées. L’éducation et la formation technique prenaient trop souvent la forme de corvées et de tâches ménagères assurant l’autonomie des pensionnats. La négligence à l’égard des enfants fut institutionnalisée et le manque de supervision donna lieu à des situations où les élèves furent victimes de sévices physiques et sexuels. Une poursuite judiciaire déposée par les anciens pensionnaires a mené, en 2008, à la mise sur pied de la Commission de vérité et réconciliation du Canada. Étant l’aboutissement de plus de six ans de recherche, le rapport final de la Commission présente l’histoire des pensionnats ainsi que leur héritage, et trace la voie de la réconciliation. Pensionnats du Canada : L’histoire, partie 2, de 1939 à 2000 porte sur le système de pensionnats du Canada depuis la fin de la Grande Dépression jusqu’à la fermeture du tout dernier établissement, à la fin des années 1990. Ce volume montre que le sous-financement et les conditions de vie précaires caractérisant les premières années d’existence des pensionnats ont perduré alors même que la plupart des Canadiens jouissaient d’une période de prospérité et de croissance sans précédent. En raison d’un programme de financement des plus maigres, les repas servis dans les pensionnats de la fin des années 1950 étaient loin de satisfaire aux Règles alimentaires du Canada. La surpopulation, les mauvaises conditions sanitaires et le défaut de respecter les règles de sécurité incendie étaient des problèmes courants pendant cette période. Tandis que les autorités gouvernementales en étaient venues à considérer les pensionnats comme étant coûteux et inefficaces, les Églises, elles, étaient réticentes à autoriser leur fermeture. Ce n’est qu’à la fin des années 1960 que le gouvernement fédéral finit par livrer bataille aux autorités religieuses pour leur arracher le contrôle de ce système. Souhaitant confier l’éducation des Premières Nations aux provinces, le gouvernement se heurta à l’opposition des organismes autochtones, qui demandaient « la maîtrise indienne de l’éducation indienne ». Après l’occupation d’un pensionnat albertain par des parents, un bon nombre d’établissements résistants passa sous administration autochtone. Le processus de fermeture des pensionnats coïncida avec un nombre grandissant de condamnations d’anciens membres du personnel pour agression sexuelle contre des élèves. Ces procès ont révélé toute l’ampleur du camouflage des sévices sexuels qui ont été infligés dans ces institutions. D’anciens élèves, qui se sont nommés les Survivants, ont mis sur pied des organismes nationaux et régionaux et ont été, en grande partie, le fer de lance de la campagne qui a mené le gouvernement fédéral à présenter des excuses en 2008 aux anciens pensionnaires et à leurs familles.

Pensionnats du Canada: Rapport final de la Commission de vérité et réconciliation du Canada, Volume 4

Par Commission de vérité et réconciliation du Canada. 2015

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Essais et documents généraux
Audio avec voix de synthèse, Braille automatisé

Entre 1867 et 2000, le gouvernement canadien a placé plus de 150 000 enfants autochtones dans des pensionnats d’un bout…

à l’autre du pays. Les autorités gouvernementales et les missionnaires étaient d’avis qu’afin de « civiliser et de christianiser » les enfants autochtones, il fallait les éloigner de leurs parents et de leur communauté d’origine respective. La vie de ces enfants au pensionnat était empreinte de solitude et d’exclusion. La discipline y était stricte et le déroulement du quotidien, lui, fortement régenté. Les langues et les cultures autochtones étaient dénigrées et réprimées. L’éducation et la formation technique prenaient trop souvent la forme de corvées et de tâches ménagères assurant l’autonomie des pensionnats. La négligence à l’égard des enfants fut institutionnalisée et le manque de supervision donna lieu à des situations où les élèves furent victimes de sévices physiques et sexuels. Une poursuite judiciaire déposée par les anciens pensionnaires a mené, en 2008, à la mise sur pied de la Commission de vérité et réconciliation du Canada. Étant l’aboutissement de plus de six ans de recherche, le rapport final de la Commission présente l’histoire des pensionnats ainsi que leur héritage, et trace la voie de la réconciliation. Pensionnats du Canada : Enfants disparus et lieux de sépulture non marqués est représente le premier effort systématique visant à compiler et à analyser les décès survenus dans les pensionnats, ainsi qu’à reconnaître l’existence de cimetières d’élèves ainsi que les caractéristiques de ceux-ci, dans le contexte réglementaire du fonctionnement de ces établissements. Dans le cadre de ses travaux, la Commission de vérité et réconciliation du Canada a créé le Registre national des élèves décédés dans les pensionnats. En raison des lacunes dans les données disponibles, ce registre est loin d’être complet. On a répertorié 3 200 victimes des pensionnats, mais le nombre réel de décès serait vraisemblablement beaucoup plus élevé. L’analyse a aussi démontré que les taux de mortalité dans ces établissements étaient bien supérieurs à ceux caractérisant le reste de la population canadienne d’âge scolaire. L’incapacité à établir et à mettre en œuvre des normes adéquates en matière de soins, conjuguée à l’absence d’un financement adéquat de ces institutions, se sont soldées par des taux de mortalité indûment élevés. Les hauts fonctionnaires du gouvernement et les autorités religieuses savaient très bien que les soins de garde que fournissaient les pensionnats étaient inadéquats. Rares sont les enfants décédés dans ces institutions qui ont été rapatriés dans leur communauté d’origine. On les enterrait plutôt au pensionnat ou dans les cimetières avoisinants, administrés par les missionnaires. Lorsque ces établissements et les missions fermèrent leurs portes, ces lieux furent abandonnés. Dans bien des cas, les communautés autochtones, les Églises et le personnel de l’époque ont pris des mesures pour réhabiliter ces cimetières et pour commémorer les défunts qui y sont enterrés. Toutefois, la plupart de ces sites sont laissés à l’abandon et n’attendent qu’à être profanés. Face à ce manque d’intérêt, la CVR propose de mettre sur pied une stratégie nationale pour documenter, valoriser, commémorer et protéger les cimetières des pensionnats.

Pensionnats du Canada: Rapport final de la Commission de vérité et réconciliation du Canada, Volume 2

Par Commission de vérité et réconciliation du Canada. 2015

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Entre 1867 et 2000, le gouvernement canadien a placé plus de 150 000 enfants autochtones dans des pensionnats d’un bout…

à l’autre du pays. Les autorités gouvernementales et les missionnaires étaient d’avis qu’afin de « civiliser et de christianiser » les enfants autochtones, il fallait les éloigner de leurs parents et de leur communauté d’origine respective. La vie de ces enfants au pensionnat était empreinte de solitude et d’exclusion. La discipline y était stricte et le déroulement du quotidien, lui, fortement régenté. Les langues et les cultures autochtones étaient dénigrées et réprimées. L’éducation et la formation technique prenaient trop souvent la forme de corvées et de tâches ménagères assurant l’autonomie des pensionnats. La négligence à l’égard des enfants fut institutionnalisée et le manque de supervision donna lieu à des situations où les élèves furent victimes de sévices physiques et sexuels. Une poursuite judiciaire déposée par les anciens pensionnaires a mené, en 2008, à la mise sur pied de la Commission de vérité et réconciliation du Canada. Étant l’aboutissement de plus de six ans de recherche, le rapport final de la Commission présente l’histoire des pensionnats ainsi que leur héritage, et trace la voie de la réconciliation. Pensionnats du Canada : L’expérience inuite et nordique démontre que les pensionnats ont revêtu un aspect unique dans le Nord. En 1950, on ne comptait que six pensionnats et un foyer au-delà du soixantième parallèle. Avant 1950, le gouvernement fédéral avait confié les pensionnats nordiques aux sociétés missionnaires qui menaient principalement leurs activités dans la vallée du Mackenzie et au Yukon. Ce n’est qu’au cours des années 1950 que les enfants inuits ont fréquenté les pensionnats en grand nombre. En raison de l’énorme distance qu’ils devaient franchir pour se rendre aux pensionnats, certains d’entre eux furent séparés de leurs parents pendant des années. La mise en place de petits foyers, comme on les appelait, et de pensionnats de jour au sein de plus d’une douzaine de collectivités inuites dans la région est de l’Arctique amena de nombreux parents inuits à s’établir dans ces collectivités durant toute l’année pour demeurer près de leurs enfants, contribuant ainsi à la transformation radicale de l’économie et du mode de vie inuits. Les institutions nordiques n’évoquent pas tous les mêmes souvenirs. Le personnel du Grandin College de Fort Smith et celui du Churchill Vocational Centre dans le nord du Manitoba ont été fréquemment cités pour leur rôle positif dans le développement et le soutien d’une nouvelle génération de dirigeants autochtones. Par contre, le legs de certains pensionnats, dont Grollier Hall d’Inuvik et Turquetil Hall d’Igluligaarjuk (bras Chesterfield), est bien plus sombre. Ces pensionnats ont été caractérisés par des régimes prolongés d’agressions sexuelles et de discipline stricte qui ont marqué pour la vie plusieurs générations d’enfants. Puisque les Autochtones forment une grande part de la population des territoires nordiques du Canada, l’impact que ces pensionnats ont eu a été fortement ressenti dans l’ensemble de la région. Et comme l’histoire de ces établissements est très récente, les répercussions intergénérationnelles et l’héritage de ceux-ci sont particulièrement intenses dans le Nord.

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