" Après quelques années de vie commune, Marianne et Georges ne se supportent plus : elle regrette le Georges amoureux…
naïf des premiers temps, lui rêve d'une épouse plus piquante. Grâce au docteur Galopin, spécialisé en électromagnétisme, ils vont chacun être mis en face de leur rêve... Et devront le cacher à l'autre ! Le cauchemar commence. D'un appartement parisien à l'ambassade de Batavia, les portes claquent, les quiproquos s'accumulent, entraînant surprises et fous rires ; six personnages se fuient et se poursuivent. Une comédie déjantée sous le signe de Feydeau. Dans une brillante postface, Eric-Emmanuel Schmitt analyse son intérêt de longue date pour l'oeuvre de Feydeau, ses tragédies à l'envers, la complexité et la rigueur mathématique extrême du dramaturge qui disait : Lorsque la présence d'un personnage est indésirable, il faut immédiatement le faire entrer en scène. " -- 4e de couv.
« Marcher là-bas où tout a débuté. » Après La Nuit de feu, où Éric-Emmanuel Schmitt décrivait son expérience mystique…
dans le désert du Hoggar, il revient aux sources avec ce récit de voyage en Terre sainte, territoire aux mille empreintes. Bethléem, Nazareth, Césarée, lieux intenses et composites qu'il brosse sur le vif et où il approfondit son expérience spirituelle, ses interrogations, réflexions, sensations, étonnements jusqu'à la surprise finale, à Jérusalem, d'une rencontre inouïe avec ce qu'il nomme l'« incompréhensible ». Après la lecture de ce récit, le Pape François a envoyé une lettre à Éric-Emmanuel Schmitt qui est lue, en italien, par Michelangelo Marchese en postface