Conte dans l'esprit du bouddhisme tibétain, sous forme d'une "pièce monologue" jouée au Festival d'Avignon en 1997. Premier volet de la Trilogie de l'invisible. 2002, c1997.
« Marcher là-bas où tout a débuté. » Après La Nuit de feu, où Éric-Emmanuel Schmitt décrivait son expérience mystique…
dans le désert du Hoggar, il revient aux sources avec ce récit de voyage en Terre sainte, territoire aux mille empreintes. Bethléem, Nazareth, Césarée, lieux intenses et composites qu'il brosse sur le vif et où il approfondit son expérience spirituelle, ses interrogations, réflexions, sensations, étonnements jusqu'à la surprise finale, à Jérusalem, d'une rencontre inouïe avec ce qu'il nomme l'« incompréhensible ». Après la lecture de ce récit, le Pape François a envoyé une lettre à Éric-Emmanuel Schmitt qui est lue, en italien, par Michelangelo Marchese en postface